« Le blanc idéatoire ou la pensée interrompue » : différence entre les versions
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Dans la situation imprévue d'une réunion de groupe, en entreprise par exemple, si vous pensez que vous allez être en difficulté vous pouvez tenter de temporiser la demande en disant par exemple « bonne question laissez-moi encore réfléchir » quitte à passer votre tour de parole - puis prenez rapidement quelques notes pour transformer la contrainte en opportunité, ne tardez pas trop, reprenez la parole rapidement afin que le stress ne vous envahisse pas, cette fois-ci c'est vous qui prenez l’initiative de la parole, cela devrait vous permettre d'acquérir un sentiment de compétence qui vous donnera la confiance nécessaire à une bonne estime de soi. | Dans la situation imprévue d'une réunion de groupe, en entreprise par exemple, si vous pensez que vous allez être en difficulté vous pouvez tenter de temporiser la demande en disant par exemple « bonne question laissez-moi encore réfléchir » quitte à passer votre tour de parole - puis prenez rapidement quelques notes pour transformer la contrainte en opportunité, ne tardez pas trop, reprenez la parole rapidement afin que le stress ne vous envahisse pas, cette fois-ci c'est vous qui prenez l’initiative de la parole, cela devrait vous permettre d'acquérir un sentiment de compétence qui vous donnera la confiance nécessaire à une bonne estime de soi. | ||
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Extrait du livre d'Abbé Denouart : | Extrait du livre d'Abbé Denouart : | ||
Version du 25 janvier 2022 à 14:49
Sous ce vocabulaire se cache une forme d'autocensure qui ne dit pas son nom confirmé par l'incapacité spontanée de tenir un raisonnement cohérent lors d'une discussion, notamment au moment d'une réunion ou seulement avec une personne.
On hésite, on se repère, on oublie ce que l'on veut dire avec l'impression d'avoir trop de choses à dire entrainant par conséquent une interruption du cours de la pensée.
Ce sentiment semble être partagé par presque tout le monde. Certaines personnes bégaient également, mais ce n’est pas la même chose - à ceci près que la dialectique dramatique se situera, en plus bégaiement, à une question embarrassante, une retenue émotionnelle ou plus globalement dans l'impréparation de son discours ; auquel cas il n'est pas toujours possible d'anticiper ces événements au quotidien.
En pratique
Dans la situation imprévue d'une réunion de groupe, en entreprise par exemple, si vous pensez que vous allez être en difficulté vous pouvez tenter de temporiser la demande en disant par exemple « bonne question laissez-moi encore réfléchir » quitte à passer votre tour de parole - puis prenez rapidement quelques notes pour transformer la contrainte en opportunité, ne tardez pas trop, reprenez la parole rapidement afin que le stress ne vous envahisse pas, cette fois-ci c'est vous qui prenez l’initiative de la parole, cela devrait vous permettre d'acquérir un sentiment de compétence qui vous donnera la confiance nécessaire à une bonne estime de soi.
La dépossession de so
Extrait du livre d'Abbé Denouart :
D'après lui, dans la parole il y a un danger-une dépossession de soi :
"Jamais l'homme ne se possède plus que dans le silence, hors de là, il semble se répandre hors de lui-même et se dissiper par le discours; de sorte qu'il est moins à soi qu'aux autres."
"Les aléas de la parole, c'est le risque de ne plus s'appartenir, de se retrouver départi de l'emprise sur soi, ou l'homme classique tient ses émotions en laisse. La parole et plus généralement l'expression-celle du corps et du visage-y sont conçus comme le lieu des passions, des émotions que la raison et la volonté doivent brider et soumettre".